« Je me suis alors persuadé que la vie de Paris n’était pas conciliable avec le recueillement dont j’avais besoin pour mener à bien le nouveau projet que j’avais en tête : une longue monographie masculine, la destinée d’un homme et l’histoire d’une conscience. […] C’est là, au Verger d’Augy, près de Sancergues (Cher), dans le pavillon où j’avais transporté ma bibliothèque, que j’ai travaillé trois ans de suite à la composition de S’affranchir (titre provisoire que j’avais donné au futur Jean Barois.) » Roger Martin du Gard.
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